Nous soutenons les parents dans l’embarras – dans toute la Suisse.
Inutile d’aller bien loin pour croiser des destins tragiques. En effet, même dans un pays comme le nôtre, des hommes et des femmes sont tributaires d’un soutien. En Suisse, un million de personnes vivent en dessous ou juste au-dessus du seuil de pauvreté.
Si la détresse sociale est relativement peu visible dans notre pays, ses conséquences n’en sont pas moins lourdes pour les principaux concernés, généralement des familles. Celles-ci ont besoin de notre aide.
Les familles, au cœur de notre action
Le quotidien apporte son lot d’imprévus. Lorsque ceux-ci viennent s’ajouter à une situation déjà tendue – maladie grave, chômage, enfants en bas âge –, ils peuvent constituer des défis pratiquement insurmontables pour une famille.
Lorsque les dépenses de santé mettent à mal le budget familial, nous apportons un soutien financier.
Nous aidons les familles qui peinent à joindre les deux bouts.
Les parents élevant seuls leurs enfants et se trouvant dans l’embarras peuvent également faire appel à la CRS.
En cas d’urgence, les familles qui traversent une période difficile peuvent compter sur le service de garde d’enfants à domicile.
Ici, votre don fait la différence
1 000 000
C’est le nombre de personnes en Suisse qui vivent en dessous ou juste au-dessus du seuil de pauvreté. Soit un habitant sur huit.
590 000
C’est le nombre de personnes qui, en Suisse, vivent avec 33 CHF par jour (pour se nourrir, se déplacer, se vêtir, se laver et avoir accès au téléphone, à la télévision et à Internet).
400 000
C’est le nombre de personnes qui, en Suisse, sont en proie à la précarité financière et qu’un rien peut faire basculer dans la pauvreté.
Il nous tient à cœur de fournir une aide durable.
Bien que nous puissions accorder des montants allant jusqu’à 1000 CHF, je suis particulièrement heureuse de voir qu’il suffit parfois de petites sommes pour redonner courage aux bénéficiaires. Lorsque les personnes appellent pour nous raconter leur souffrance, nous les écoutons et les encourageons à prendre leurs responsabilités. Il n’y a aucune honte à vérifier si on peut obtenir un soutien financier, et, souvent, de petits montants suffisent pour générer de grands effets.